A Bangui, les violences ont repris en milieu de semaine faisant une dizaine de morts et plus d'une vingtaine de blessés pris en charge notamment par Médecins sans frontières. Des représailles organisées après l'assassinat de musulmans mercredi matin. Dans les quartiers, des habitants reconvertis en groupes d'autodéfense refusent d'être assimilés aux anti-balaka, mais il patrouillent pour assurer la sécurité, disent-ils, et surveiller leurs maisons, comme à Bazanga.
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