Depuis quelques jours, la capitale Centrafricaine et l’ensemble du territoire national connaissent un regain de violences sans précédent faites d’assassinats de personnes sans distinction d’âges, de sexes, de milieu social ou de confessions religieuses, et de destructions aveugles de maigres biens chèrement acquis. Tout cela devant l’indifférence et l’immobilisme total des Autorités de la Transition et leurs protecteurs étrangers (Minusca, Sangaris et certaines Représentations Diplomatiques en RCA).
Les rares initiatives patriotiques de la société civile sont rapidement étouffées par un régime autoritaire illégitime et antipatriotique. Les médias nationaux sont traqués, muselés, étouffant ipso facto la liberté de la presse et d’opinion. La classe politique nationale est plus préoccupée par les jeux de positionnement pour gagner des élections dont ils préparent honteusement au grand jour une victoire frauduleuse avec le soutien de certains intérêts étrangers, victoire qui pourrait ouvrir la voie à un embrasement post électoral généralisé avec des répercussions certaines sur les pays voisins et frères.
... suite de l'article sur Autre presse