Le président du CNT, le Conseil national de transition, le parlement provisoire accuse le gouvernement de transition d’être responsable de cette situation, et ce à deux mois du 1er tour de l’élection présidentielle. Alexandre-Ferdinand N’Guendet, visiblement agacé, a vertement accusé les autorités de la transition "d’avoir laissé les communautés s’entretuer sans interposition, sans prendre des mesures efficaces pour garantir la sécurité des citoyens et préserver leurs biens’’.
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