Il y a un an, le 27 novembre 2014, le prêtre polonais Mateusz Dziedzic recouvrait la liberté. Officiant comme curé à Baboua en République centrafricaine, Mateusz avait été retenu quarante-quatre jours par le groupe rebelle appelé Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC). Chacun est en droit de connaître la vérité sur les conditions de libération d’un homme de foi, officiant pacifiquement dans sa paroisse.
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