Ce dimanche 13 décembre, les Centrafricains sont appelés à se prononcer par référendum sur le projet de nouvelle Constitution adopté par le CNT, le 31 août dernier. Un texte de 159 articles qui comprend un certain nombre de nouveautés dans les institutions. La plus emblématique étant, sans, doute la création d’un Sénat qui n’existait pas en Centrafrique. Passage en revue des principales dispositions de ce texte.
« Le peuple centrafricain, fier de son unité nationale, linguistique et de sa diversité ethnique culturelle et religieuse… », c’est par ces mots que commence le préambule de ce projet de Constitution sur lequel les électeurs sont appelés à se prononcer. Un préambule qui réaffirme le « (…) principe du Zo Kwe Zo énoncé par le Père fondateur de la République centrafricaine, Barthélémy Boganda (…) », qui détaille l’esprit qui a prévalu à la rédaction de ce texte et réaffirme l’adhésion de la République centrafricaine à l’Union africaine, à l’Organisation des Nations unies et « à toutes les Conventions internationales dûment ratifiées ».
... suite de l'article sur RFI