Le gouvernement centrafricain et la mission des Nations unies (Minusca) devraient "de toute urgence" chercher à mettre un terme aux violences sexuelles commises par des milices armées contre des femmes dans Bangui, a déclaré jeudi Human Rights Watch (HRW).
"25 cas de violences sexuelles ont été commises depuis le 26 septembre", au moment où des affrontements intercommunautaires ont de nouveau secoué la capitale, affirme HRW dans un communiqué reçu à Libreville. L’ONG ajoute que les auteurs de ces crimes accusent leurs victimes, femmes et filles, d’agir en faveur du camp adverse.
"Les autorités du gouvernement de transition et les Casques bleus de l’ONU, selon HRW, doivent agir en vue d’améliorer la protection des femmes et des filles et d’obliger les responsables à rendre des comptes".
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