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450 soldats gabonais bientôt formés par la SGF
Publié le lundi 3 novembre 2014  |  Gabon review
Marche
© AFP par PACOME
Marche des soldats de la force de l`ONU de la MINUSCA
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Sovereign Global France (SGF) a signé, la semaine dernière, un contrat pour la formation d’un bataillon de 450 soldats gabonais qui devront rejoindre les troupes onusiennes en Centrafrique
Prévu pour être déployé à la fin du premier trimestre 2015 en République centrafricaine, un bataillon de 450 soldats gabonais devant rejoindre le contingent onusien devrait être formé sous peu par la Sovereign Global France (SGF). Les termes de cette opération ont été signés le 31 octobre dernier en France, entre le ministre de la Défense nationale, Ernest Mpouho Epigat, et le président de la SGF, Jérôme Paolini.

Ainsi, comme à Djibouti et au Tchad, rapporte le bloggeur Philippe Chapleau, relayant l’information sur le site «Ouestfrance», la SGF va mettre en condition opérationnelle et aux standards des OMP (Opération de maintien de la paix) les soldats gabonais sur une période de 3 ans. Il s’agit notamment d’un programme de conseil et d’assistance pour la mise aux normes ONU du bataillon de réserve gabonais déployé au sein de la Mission des Nations unies en Centrafrique (MINUSCA). La vingtaine de formateurs de la SGF axeront leur formation sur 3 volets, à savoir : le conseil et l’assistance au ministère de la Défense nationale dans ses relations avec l’ONU pour la préparation, la réalisation et le suivi du déploiement, la préparation du bataillon de 450 hommes en vue de sa projection et un programme de conseil et d’assistance pour les inspections onusiennes en Centrafrique et pour la maintenance des équipements sur le théâtre des opérations.

A en croire la source, «les activités de SGF devraient démarrer fin novembre, d’une part à Libreville, au sein du ministère de la défense et/ou de l’état-major général des forces armées, et d’autre part sur le camp de Mouila, à 400 km au sud-est de Libreville, pour l’équipe qui appuiera la montée en puissance du bataillon».

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