l y a une semaine, Noureddine Adam provoquait la surprise et déclarait son soutien aux élections ainsi que son rejet de la partition de la Centrafrique, huit jours seulement après avoir proclamé le 14 décembre une « République autonome » dans le nord-est du pays. Un revirement dû à la médiation de l'OCI et du Tchad, mais également à une réalité du terrain qui ne lui laisse guère d'autres choix.
►Noureddine Adam est l'invité Afrique de RFI ce lundi matin
Les autorités de la transition l’ont déclaré ennemi public numéro 1, mais la capacité de nuisance de Noureddine Adam s’est amoindrie. Sa proclamation d’une République autonome dans le nord-est du pays n’a quasiment été suivie d’aucun effet sur le terrain. Et cette partition, comme sa promesse de perturber les élections, ont été ignorées ou rejetées par les autres mouvements issus de l’ex-Seleka.
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