L’opinion internationale redoutait le chaos. C’était considéré par beaucoup d’observateurs comme une élection à grand risque, certainement au regard des conflits, des affrontements, des divisions qu’a connus le pays ces dernières années. Et pourtant, malgré quelques ratés, quelques soucis logistiques, et contestations de certains candidats, le 1er tour du scrutin présidentiel en République Centrafricaine s’est finalement déroulé dans un certain calme. Le dépouillement aussi. On s’achemine donc vers un second tour opposant 2 anciens Premiers ministres. Quelles leçons tirées de ce scrutin ? Est-ce un premier pas vers la sortie de la longue crise qui agite, qui ensanglante la Centrafrique, depuis maintenant 3 ans.
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