Maintenant le CPR lance un appel solennel et prend à témoins toutes les organisations indépendantes "Human Rights Watch, HCR- Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, LDH-Ligue des Droits de l'Homme..." sur ce qui devait arriver. Tous les ingrédients sont réunis et entretenus. En cette période de calme relatif, le CPR ne comprend pas que les autorités actuelles de la République Centrafricaine qui fonctionnent dans l'illégalité d'un Etat moderne, ne cherche pas à doter le pays d'institutions fiables et ne comprend pas non plus l'accompagnement international sans but, dans un pays sans Constitution, sans lois avec une Présidente nommée par François Hollande, Idriss Deby et Denis Sassou-Nguesso.
Aussi le CPR ne comprend pas le déni, le silence qui entoure cette évidence macabre. Maintenant le CPR lance un appel solennel et prend à témoins toutes les organisations indépendantes "Human Rights Watch, HCR- Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, LDH-Ligue des Droits de l'Homme..." sur ce qui devait arriver ....et leur demande de doubler de vigilance car un éternel recommencement nous pend au nez pour le bien-être des irresponsables, insatiables centrafricains. Le résultat n'y est pas. Le laxisme calculé des uns justifie la présence et l'accompagnement mortifère des autres. Nous arrivons à la fin d'un mandat international donné à Mme Catherine Samba-Panza. Donc le CPR annonce publiquement sa peur, sa réserve, et ses doutes que les centrafricains se disent bonne année 2015. Dr Félix Yandia, président du CPR, le 10.11.2014