C’est une décision courageuse d’avoir annulé les législatives sur l’ensemble du terrible du fait des plusieurs irrégularités constatées. Mais le moins que l’on puisse dire, si les législatives devraient se dérouler en une période outre que celle prévue pour le 2e tour de la Présidentielle, le pays est encore mal parti. Alors que c’est ce que le commun des mortels redoute.
Sur environ cent quarante sièges qui étaient à pourvoir, cent trente ont fait l’objet de contestations, ce qui a amené la Cour Constitutionnelle de Transition à mettre une croix rouge sur ces législatives. Ce qu’on ne comprend pas, c’est que les législatives ont eu lieu dans les mêmes conditions que la présidentielle avec des mêmes acteurs que sont les électeurs.
Tout n’a pas été que négatif partout et ce n’est pas parce qu’il y a eu des contestations que les opérations doivent être remises en cause dans telle ou telle circonscription. Il y a des endroits où certains candidats ont été élus haut les mains mais qui verront encore les législatives s’y reprendre.
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