L'ONU maintient les sanctions contre les milices et les hommes politiques, mais veut autoriser la vente des pierres précieuses sur les marchés internationaux.
Dans une nouvelle résolution, proposée par la France, les Nations Unies déplore qu'en dépit des interdictions de voyager visant par exemple l'ancien président François Bozizé, ce dernier continue de se rendre à l'étranger.
Pour éviter toutes nouvelles défiances des personnes ciblées par les sanctions prises en 2014, les Nations Unies préviennent que "les personnes qui faciliteront délibérément le voyage" d'une personne sanctionnée peuvent aussi tomber sous le coup des sanctions de l'ONU.
Le Conseil de sécurité de l'Onu a également pris en 2014 des sanctions contre des responsables des deux milices rivales, l'ex-coalition rebelle séléka et les anti-balaka
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