e qui se passe sous nos yeux en Centrafrique ne cesse de tarauder mon esprit et soulève en moi beaucoup de réflexions sur notre destin commun, notre avenir et la place que nous devons occuper dans le concert des nations.
En vérité, il me semble que nous sommes encore loin de la lumière et de la vérité, celle qui affranchit et non celle qui divise. Je sais aussi que le Centrafricain n’aime pas la vérité et n’aime pas non plus sortir du lot pour apprécier les choses en s’appuyant sur la raison pour se remettre en cause et aller véritablement à la recherche de ce qui peut l’aider à trouver une issue honorable dans ce labyrinthe où nous sommes plongés.
Notre refus permanent d’aller vers la vérité nous met toujours dans une situation d’impasse où notre intelligence n’arrive plus à se manifester pour accoucher de nouvelles manières de penser et des actions porteuses d’espoir et de changement.
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