Plusieurs centaines de documents sont mis en ligne vendredi par le site américain. Ils émanent pour la plupart des autorités centrafricaines et fustigent les conditions de l'exploration minière du français ainsi que sa sortie du pays en 2012.
Le boulet s’alourdit d’un poids supplémentaire. Près de quatre ans après s’être retiré de son exploration minière en Centrafrique – acquise dans le cadre d’un rachat controversé du groupe canadien Uramin en 2006 qui a depuis donné lieu à l’ouverture de deux informations judiciaires en France -, des centaines de pages de documents sont rendus publics par Wikileaks le 5 février concernant « la vilaine petite guerre pour l’uranium africain », selon la formule (en anglais) du site fondé par Julian Assange.
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