Exclusivement consacrés à la République centrafricaine (RCA), les derniers documents révélés par WikiLeaks, vendredi 5 février, dessinent à grands traits les relations commerciales entre un Etat déliquescent, corrompu, et des entreprises étrangères aimantées par les richesses de son sous-sol.
Sont pointées une société d’Etat chinoise, Poly Technologies, présentée comme un acteur majeur de la vente d’armements, ainsi qu’une junior pétrolière sud-africaine, Dig Oil, attirées par les réserves d’or noir centrafricain, ou bien encore ce qui s’apparente à une tentative d’escroquerie montée par une fausse ONG, l’Alliance mondiale des sports.
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