Pays meurtri, pays harassé, la République centrafricaine organise aujourd’hui le second tour de l’élection présidentielle dont le monde en général et les Centrafricains en particulier attendent en effet une renaissance. Le scrutin oppose Anicet Georges Dologuélé à Faustin Archange Touadéra. Pour les électeurs centrafricains, c’est un « nouveau départ » pour « sortir » de trois ans de violences intercommunautaires, espère Le Point. « Mais la tenue d'un nouveau premier tour des législatives s'annonce comme un défi », complète aussi l’édition en ligne de l’hebdomadaire.
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