Un voleur qui crie au voleur, c’est la réaction du candidat de la pègre Anicet George Dologuélé qui peine à effacer l’image de la RCA, du pays de tous les paradoxes. Alors que les centrafricains ont fait montre d’une maturité jamais égalée dans le monde en jetant leur dévolu sur un homme neutre, simple et humble F. Touadera qui a dépensé à peine 20 millions de Fcfa pour franchir le cap du premier tour, AGD qui a aligné plus de 3 milliards ne veut pas reconnaitre sa défaite qui se profile.
Plus rien ne va chez la dologuélézie depuis que le candidat de la pègre a été démasqué en pleine nuit chez son frère à Lakouanga avec le très controversé magistrat Julius Ngouade Baba, rapporteur et porte-parole de l’ANE. Ce dernier a été mis hors d’état de nuire de cette institution depuis deux jours. Pris la main dans le sac, on lui reproche d’avoir des liaisons incestueuses avec le candidat des riches pauvres centrafricains.
D’après des sources proches du garde des sceaux, M. Ngouadé Baba sera convoqué devant le conseil de discipline de la magistrature pour absence de neutralité et violation de serment.
Selon nos informations, la chaine des institutions organisatrices des élections auraient mis la police et la gendarmerie aux trousses des autres malfrats qui ont aidé le candidat de la pègre AGD à se hisser au deuxième tour.
Autre mauvaise nouvelle pour URCA et KNK Béa, l’ami intime d’AGD et son principal soutien au niveau de la MINUSCA, le béninois Agbonenci est surveillé 24/24 par les centrafricains majoritairement acquis à la cause de Touadera comme un prisonnier de Gwatanamo. Sa capacité de nuisance est ainsi amoindrie.
Du coup Dologuélé, le pauvre Dologuélé dont l’équipe de presse et de la communication n’est pas capable de fournir ne fut ce qu’une seule image de bain de foule ou des images qui montrent la complicité de leur mentor avec le peuple centrafricain à l’instar de Touadera qui jouit à présent de la popularité d’une star de rock ou de football, crie désormais à la fraude.
Un voleur qui crie au voleur, c’est bien ce qui se passe avec Dologuélé le record man centrafricain en matière de casseroles : arriérés de salaires, corruption, détournements, placements hasardeux à la Madof, privatisation sauvages de Petroca, UBAC, Zongo oil,affaires Baya Munguélé, achat de conscience).
Présenté par ses amis, ses collaborateurs et par de nombreux observateurs comme un homme arrogant, distant, imbu de sa personne, Dologuélé à travers son manque de fair- play et la dissimulation de ces mensonges d’anthologie, démontrent à suffisance son désamour pour ce pays qui se dirige vers sa renaissance.
« Il y a des bureaux de vote qui sont apparus dans certains arrondissements » lors de la proclamation des résultats partiels de Bangui : ce sont « des bureaux de vote fictifs » a tempéré Saturnin Dombi, un lieutenant de Dologuélé. Ce dernier est même allé plus loin en mettant en cause les groupes armés qui ont pourtant eu une attitude responsable pendant le déroulement de ces scrutins.
« Nous avons reçu plusieurs situations d’intimidation avec des chefs de milices armées arpentant les quartiers et les villages ou les abords des centres de vote pour orienter le vote des citoyens » ajoute Ndombi qui semble jouer sa dernière carte.
Comment comprendre qu’on puisse manquer autant de respect pour le peuple centrafricain qui a trop souffert des caprices des politicards, mais qui au contraire s’est pourtant massivement déplacé pour élire ces nouveaux dirigeants ?
Après avoir fait venir des communicants camerounais et sénégalais, après avoir acheté des rédacteurs de Jeune Afrique pour la diffusion des mensonges, après avoir fait déplacer JB M’Piana et s’attirer les foudres des centrafricains dans les urnes, le candidat de la pègre qui s’est déjà ruiné en s’engageant à apurer les dettes du très controversé ancien candidat Désiré Bilal Kolingba, se paie encore le luxe de faire venir à Bangui des avocats étrangers pour plaider « son échec ».
Selon des sources proches des dissidents de l’URCA, Dologuélé a déjà entériné sa défaite mais il cherche à justifier les prêts qu’il a contractés auprès de ses partenaires souvent véreux.
Du côté de BADICA placé sous les radars de l’ONU pour avoir financé la Séléka c’est la panique à bord. C’est le même son de cloche avec K-Group, la Clinique Chouaib, Rayan et plusieurs entreprises qui ne paient plus les impôts depuis des années et qui ont toutes soutenu le candidat de la pègre pour se refaire une santé.
La délibération du deuxième tour de la présidentielle s’est poursuivie hier avec une nette domination du candidat du peuple Faustin Archange Touadera. ce dernier va gagner la présidentielle avec au moins 64% au minimum d’après les sources de la MINUSCA et de la Sangaris qui ont toutes des antennes sur le terrain.
WMS