(LNC) — Ce n’est pas l’habituel François Soudan qui prit partie pour Dologuélé, tellement convaincu qu’il gagnerait avec un papier mielleux qui a fait l’éloge portrait du nouveau président centrafricain au sein de la rédaction de l’hebdomadaire panafricain Jeune Afrique, mais Vincent Duhem, qui lui, pour le moins fit dans le sobre.
François Soudan lâchait les chevaux :
« Dologuélé est une chance pour les Centrafricains, sauront-ils la saisir ? »
Manifestement, les centrafricains n’ont pas saisi cette chance, à son désespoir.
Ce qui met la rédaction de J.A en porte à faux.
L’hebdomadaire déjà usuellement peu habitué en matière de rigueur journalistique quand il s’agit de faire le panégyrique des dictateurs africains qui “payent”, là, sur la Centrafrique, s’est vautré dans la latérite complètement.
Confidence d’une collègue de chez eux, mais en toute discrétion :
“Soudan, c’est un vieux con qui se croit tout permis, comme il n’a plus de lucidité. Son avis personnel n’est pas celui de J.A. Sa réponse à la plainte de Touadera fut pathétique. Ecrivez-le s’il vous plaît ! sans me citer.”
ABUSE PAR LA PROPANGANDE DE DOLOGUELE
François Soudan est un courtisan au service des puissants. Ses éditoriaux depuis des années ne sont pas pris au sérieux dans la profession.
D’éthique journalistique ? Il n’en a pas. Allant là où la mangeoire est bonne.
Mais il n’est que l’héritier du fondateur de J.A Béchir Ben Yahmed, qui durant sa carrière dans son journal n’aura eu cesse de faire la courbette devant les dictateurs africains.
Rien donc de nouveau.
Et là, sur la Centrafrique, JEUNE AFRIQUE s’est encore décrédibilisé, via François Soudan !