Une quinzaine de personnes auraient été tuées ces derniers jours dans cette ville du centre du pays.
Depuis mai 2014, Bambari est profondément divisée entre musulmans et chrétiens.
C’est une poudrière qui ne s’éteint pas, un foyer de tension et de violence qui s’embrase régulièrement. Et qui tue, aveuglément et sans distinction, des chrétiens et des musulmans pris entre deux feux.
Des civils fauchés dans des accrochages entre groupes armés irréductiblement ennemis, abattus dans des règlements de comptes entre alliés, victimes expiatrices organisant des expéditions punitives pour venger un mort.
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