Au crépuscule d’un régime de TRANSITION moribond et incompétent qui va bientôt tirer sa révérence à la grande joie de l’ensemble du peuple centrafricain, des STARS bien connues du paysage politico-sentimental du pays cherchent à quitter le navire en perdition, tels des rats, en se mettant en exergue pour attirer l’attention des autorités nouvellement élues au suffrage universel en Centrafrique.
Dame Rachel NGAKOLA, Directrice Générale des Douanes et Droits Indirects, et non moins Compagnonne de l’actuel Premier Ministre de Transition MAHAMAT KAMOUN, fait partie de ces PEOPLES version « couleurs tropicales ».
Sentant les jours de son AMANT comptés à la tête du Gouvernement de TRANSITION, notre Dame susnommée a dans une récente et effarante déclaration rendue publique par les Médias locaux et en dehors de toute OBLIGATION DE RESERVE que requièrent les fonctions de Fonctionnaire et Agent de l’Etat, a cru devoir s’en prendre à monsieur Anicet Georges DOLOGUELE, Candidat malheureux à la récente élection présidentielle en République centrafricaine qui a pourtant reconnu sa défaite et félicité son adversaire élu, le désormais Président Faustin Archange TOUADERA.
Pour les observateurs avertis, les élucubrations des DERNIERS JOURS de Dame Rachel NGAKOLA à la fin de ce régime de Transition ne visent rien d’autre qu’à trouver une porte de sortie honorable et en même temps faire un clin d’œil auNOUVEAU POUVOIR DE BANGUI pour manifester SA DISPONIBILITE TOUS AZIMUTS à éventuellement « AIMER LE NOUVEAU MAITRE ET LE SERVIR… » ! LA TRANSHUMANCE est ainsi déjà annoncée pour préserver les acquis d’une richesse et d’un patrimoine immobilier colossal amassés durant cette courte période de Transition made in SELEKA et la SAMBA-PANZIE.
A dire vrai, le nouveau régime devrait se méfier de ces chants de sirènes émanant de tous horizons et qui ne visent rien d’autre qu’à préserver des INTERETS INAVOUES et échapper à l’IMPUNITE et à DAME JUSTICE qui a l’obligation de faire son travail au lendemain de cette nouvelle ère qui s’amorce en Centrafrique.
L’Inspection Générale d’Etat, l’Inspection Générale des Finances voire la COUR DES COMPTES devraient impérativement se mettre au travail et aller au taquet dès les premiers moments de l’après investiture du nouveau Président de la République , l’installation des nouvelles institutions démocratiques et républicaines afin de traquer tous les délinquants en « cols blancs » ceci pour rendre justice au peuple centrafricain désabusé par les différentes crises socio-politiques récurrentes à l’origine de sa paupérisation actuelle.
La RENAISSANCE, la Réconciliation, la Restauration de l’Autorité de l’Etat, la Paix et le Développement ne peuvent se réaliser sans un regard rétrospectif sur tous les acteurs de la vie publique nationale, sur chaque courtisan, chaque parent, sur chaque « compagnon de lutte » etc., pour rompre manifestement avec certaines pratiques peu orthodoxes du passé : détournements de deniers publics, enrichissements illicites, corruptions…Le mot d’ordre du régime TOUADERA devrait être justice-impunité zéro-intégrité-travail-compétence et autorité de l’Etat retrouvée. L’œuvre de redressement national d’un pays exsangue comme la patrie de feu Barthélemy BOGANDA devrait impérativement passée par ces créneaux. A bon entendeur salut !
SAINT-THOMAS GBOUZO-BIANI