À travers l’affaire Abdoulaye Hissein, aussi curieux que cela puisse paraître, certaines sources bien introduites ont péniblement tenté de noyer le Colonel Valentin Kikobet-Pataki, actuel Directeur général de la Gendarmerie nationale.
Faisons remarquer, toutefois, qu’une telle présentation des faits accusant le Colonel Valentin Kikobet-Pataki confirme bien qu’il n’était aucunement au courant de la décision d’arrestation du leader de la CPJP, tout Directeur général d’une section de la Police Judiciaire qu’il soit.
Car pas d’intérêt pas d’action, n’est-ce pas ?
C’est bien ici le lieu de souligner, à la suite de l’Oubanguien Jean Kalimsi qu’en Centrafrique, en générale, le choix Politique se fait entre le grotesque et le rocambolesque.
Car cette nouvelle affaire Centrafricaine dépasse notre entendement en révélant l’existence d’un cafouillage au sommet de l’État doublé d’un acte de détournement de bien public, notamment au Ministère de la Sécurité Publique de l’Émigration et Immigration.
Profitant de l’occasion offerte par l’évasion d’Abdoulaye Hissein , le Ministre en Charge de ce département, le Général de Brigade de Gendarmerie Pierre Chrysostome SAMBIA, s’est mis dans la tête de régler un compte personnel.
Ce quinquagénaire a cru s’arranger à moindres frais de passer ainsi entre les mailles du filet jeté sur lui par l’Union Européenne, à la suite de cette affaire digne d’un film mal ficelé sur la mafia à la sicilienne.
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