En avril, la présidente de la transition quittera le pouvoir avec, dit-elle, le sentiment du devoir accompli. Accusée de népotisme et même de corruption, elle affirme avoir appris à encaisser les coups. appris à encaisser les coups.
À quelques semaines de la fin de son mandat, Catherine Samba-Panza construit sa légende. Invitée par la Banque Mondiale à Washington, du 27 février au 3 mars, elle s’est plu à se poser en « mère de la nation », soulignant la difficulté de la mission qu’elle avait acceptée. Accompagnée de sa fille, Christelle Sappot, et de sa ministre de l’Économie, Florence Limbio, la présidente de la transition a été reçue au département d’État et au FMI. Interrogée par Jeune Afrique, elle revient, dans un discours rodé et messianique, sur son temps passé à la tête du pays. Et puisque Faustin-Archange Touadéra prendra sa succession le 1er avril, elle tient à ce que cela se sache : elle est disponible !
... suite de l'article sur Jeune Afrique