Pendant longtemps, les dirigeants centrafricains ont exercé le pouvoir sans aucun contrôle, comme les chefs coutumiers, sans opposition politique, mais sous les vivats des partis uniques, sans médias critiques, mais avec une radio nationale au service de leurs intérêts, sans projet de société, mais en ayant pour tout horizon social le bonheur du cercle familial, élargi à l 'ethnie présidentielle.
Aujourd'hui, les médias centrafricains, sans grands moyens, mais dopés par la ruine de leur pays, et sa propension à s'enfoncer dans la misère, ont décidé de mettre la pression sur les hommes politiques. Sera encensé dorénavant celui qui travaille. Et les branleurs et les voleurs seront critiqués. Car ils contribuent à l'aggravation de la misère dans leur pays.
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