Le nouveau président centrafricain Faustin-Archange Touadéra, qui a prêté serment mercredi à Bangui, s'est déclaré inquiet de la fin de la mission dans son pays en 2016 de la force militaire française Sangaris, annoncée le même jour par la France.
À la question de la presse lui demandant s’il s’inquiétait de ce retrait, Faustin-Archange Touadéra a répondu : « Ah, oui. Sangaris est quand même une des forces aujourd’hui qui peut vraiment être très, très opérationnelle ». « Bien sûr, a-t-il poursuivi, il y a les forces des Nations unies mais ces deux entités se complètent dans leurs actions. Vu que le territoire est grand et que les menaces sont encore là, nous avons quand même des soucis ».
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