Les nouvelles allégations d'abus sexuels portées à l'encontre des soldats de maintien de la paix en Centrafrique ont suscité des réactions d'indignation jeudi de la part de la communauté internationale et notamment de la France, qui fait partie des pays concernés. « L'honneur de la France serait engagé », a déclaré François Hollande, si elles été avérées. A Paris cependant, des fonctionnaires de la Défense s'interrogent sur ces éventuels nouveaux cas.
Mercredi, l'ONG AIDS-Free World a publié un communiqué reprenant des informations émanant de l'ONU faisant état de « jeunes forcées à avoir une relation sexuelle avec un chien » devant des militaires français. Les faits porteraient sur la période 2013-2015, dans la région de Dékoa. Les réactions n'ont pas manqué.
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