En panne d’inspiration et n’ayant pas digéré la défaite de ses alliés bien connus de la place, le très controversé imposteur, directeur de publication du journal LNC et apôtre des avatars de Facebook M. Magloire Lamine peine à chercher des poux dans la tête du président Touadera.
Alors que les premières actions des deux têtes de l’exécutif suscitent une forte adhésion des centrafricains plus que jamais rassurés et décidés de conduire leur pays vers le développement, le journal en ligne LNC a décidé de se lancer dans la calomnie et le mensonge pour ternir l’image du président Faustin Archange Touadera.
Après avoir diffusé une série d’articles cousus de mensonges dont le seul but est de dévaloriser l’image du président Touadera à l’étranger, le journal LNC a été rattrapé par son crédo qui n’est autre chose que le mensonge. LNC a dernièrement fait sa UNE sur une image vidéo colportée sur les réseaux sociaux. Le contenu de ce film de quelques minutes met exergue un personnage imbu de sa personne et adepte du bling bling se faisant passer pour la fille du nouveau président centrafricain.
Dans un article publié le 5 mai 2016 dans ses colonnes et intitulé CENTRAFRIQUE : QUAND LA FILLE DU PRÉSIDENT TOUADERA BASCULE DANS L’INVECTIVE ET LE MÉPRIS, ce journal a accordé du crédit à ce vrai faux scoop qui n’est en réalité qu’une pure intoxication. Le seul objectif de LNC et de son Directeur de publication, le tristement célèbre séléka de la première heure Magloire Lamine et ses 53 avatars est de dévaloriser l’image de l’homme D’État de stature mondiale qu’incarne aujourd’hui le président Touadera.
Le journal LNC qui n’est pas à ses premières invectives à l’endroit de Faustin Archange Touadera, s’est permis de considérer ce personnage comme la fille biologique du nouveau président : «Ceci n’arrangera pas l’image de son Président de Papa, Mlle Touadera s’est lâchée sur les réseaux sociaux, en insultant les pauvres et autres en Sangö » a publié le journal LNC.
D’après des sources généralement bien informées, le professeur Faustin Archange Touadera n’a pas de fille majeure. Le pédagogue a même selon les mêmes sources formellement interdit à ses proches et à ses rejetons de se mêler des affaires politiques et publiques. Les centrafricains ne devraient donc pas s’attendre aux frasques, aux caprices, aux actes de mépris et aux déballages des signes ostentatoires de richesse ou d’abus du pouvoir de la part des enfants et des proches du président Touadera comme c’est souvent le cas en Afrique et dans le monde.
Selon nos informations Melle Rose Ngueretoungou qui est supposée être la fille biologique du président Touadera, est une sociétaire de Facebook qui a décidé de faire du nom Touadera son surnom au regard de l’euphorie qui a suivi la brillante élection à la présidentielle de l’ancien député de Damara.
C’est dans ce contexte que l’article n’a pas recueilli des avis positifs de la part des internautes. Cette pratique éhontée et fustigée par beaucoup d’observateurs relève d’une animosité dont Magloire Lamine seul est capable.
Car comment expliquer qu’en seulement un mois de gouvernance on puisse véhiculer une telle haine à l’endroit d’un président élu à plus de 62% de suffrages?
Il y a moins d’une semaine LNC intitulait une brève : « TOUADERA : Les oublis de sa déclaration de patrimoine.
« Il était réticent à faire sa déclaration de patrimoine comme l’exige la Constitution. Il vient de le faire, mais avec de gros oubli » écrivait Lamine sur les réseaux sociaux.Alors que la Cour constitutionnelle a une semaine pour rendre publique la déclaration de patrimoine du président Touadera, le journal LNC reconnait cet acte citoyen mais se permet tout de même de relever « de gros oubli » LNC est t-il mieux informé que la CCT qui est chargé de publier le patrimoine du président sous huit jours comme le suggère la loi?
Nous reviendrons sur la litanie de mensonges que diffuse LNC pour mettre en alerte nos lecteurs sur la dangerosité et la moralité douteuse de son directeur de publication Magloire Lamine. Ce dernier continue de véhiculer la haine à l’heure où tous les centrafricains ont décidé d’enterrer la hache de la guerre.
Jolino de NDABA