La vérité n’est pas toujours bonne à dire, mais elle reste la vérité !
Si la vérité est lumière du monde, mieux vaut la propager, quelque soit le risque !
Et si on veut réellement aider un frère à réussir sa vie, mieux vaut commencer par lui dire la vérité sur son état du moment, avant de lui indiquer les marches à suivre. Il mesurera ainsi mieux le chemin qui lui reste à parcourir.
On a souvent tendance à répéter à tue-tête « vox populi, vox dei », la voix du peuple est la voix de Dieu. Une véritable aberration !
En démocratie, le peuple élit ses représentants : députés, maires, président de la république, ect… Ces élus sont bien le choix du peuple et donc à son image.
En confiant son destin à ses élus, le peuple est indiscutablement co-responsable des actes aussi bien positifs que négatifs que peuvent poser ces élus.
Les élus d’un pays sont auteurs et responsables des actions et initiatives pour le développement du pays.
L’émergence d’un pays dépend donc directement de la qualité de ses élus. Et qui dit qualité dit vision, capacité d’innover, d’entreprendre et de diriger.
Un pays qui n’arrive pas à émerger, à se développer, est un pays dont les responsables, les élus du peuple, sont incapables, incompétents et donc mal choisis.
La descente en enfer que connaît notre pays depuis un quart de siècle déjà est un signe ostentatoire de l’absence de pertinence et le manque de recul dans le choix du peuple centrafricain.
Se tromper une fois, cela peut se comprendre. Mais persévérer dans l’erreur est diabolique.
Le peuple centrafricain s’est à plusieurs reprises trompé. Sa voix n’est nullement celle de Dieu.
La voix du peuple (centrafricain) n’est donc pas la voix de Dieu, car Dieu ne se trompe pas !
CQFD.
DeLÊMBO
Gni-Gbia Lêmbo.