Visiblement, certaines sociétés centrafricaines ont décidé de saboter le régime de Bangui comme elles ont fait pendant les régimes precedent. Le cas de la SOCASP est de trop
Le torchon brûlerait entre le personnel de la société centrafricaine de stockage de produits pétroliers (socasp), grande structure de ravitaillement du pays en produits pétroliers et les dirigeants de cette société.
Les faits:
Les faits remontent a plusieurs années depuis que M. Sylvain DEA a pris les règnes De cette société. Nommé au lendemain du coup de la seleka du 15 mars 2013, les tensions ne cessent de monter entre le DG actuel de la socasp et les personnels de la dite société. L’une des raisons principales est la non application de la grille salariale. Selon des témoignages recueillis auprès des délégués du personnel, M. DEA et ses proches collaborateurs ne cessent d’augmenter leur propre salaire sans compter les primes colossales qu’ils touches pendant des réunions et autres voyages dits montés de toutes pièces. Alors que les autres employés broient le noir. Aussi le personnel dénoncerait l’implication de certains responsables proches du DG dans une affaire de détournement de fonds liés à la construction du 15e bac de la socasp. Plusieurs dérives entre autres la surfacturation des locations des engins lourds pour les travaux de construction sont dénoncées par ces ouvriers. Visiblement les ouvriers veulent coûte que coûte la tête de leur DG.
Et les autorités de Bangui dans tout ça
Depuis longtemps il semble que Bangui observe un mutisme autour de ce dossier qui n’est que trop. Car c’est depuis au temps du régime défunt de Catherine samba panza que les ouvriers de la socasp ne cessent faire des grèves pour dénoncer l’arrogance de leur DG et autres membres de son cabinet y compris ses proches soutiens a la socasp. Pour le personnel, le régime de samba panza avait laissé faire en acceptant de garder dans le gouvernement des ministres qui acceptaeraient des pots de vin de la part de M. Dea sylvain. L’ancien ministre sokambi aurait même été cité. Ce dernier aurait annulé un concours qui devrait solder a la mise en place d’un nouveau DG a la socasp vu les bavures a répétition de M. Dea. Tout cela montre a suffisance les techniques peu orthodoxes des dirigeants de cette grande société centrafricaine qui veulent toujours corrompre pour garder leur poste malgré leur résultat calamiteux. Ce qui fache encore plus, c’est que le DG utilise l’une de ses concubines qui serait sa secrétaire particulière pour mattraquer les personnels jugés " dangereux". Récemment, le DG n’a cessé de crier haut et fort une supposée filiation entre sa secrétaire concubine et l’actuel président centrafricain. Une manière de dire qu’il est inamovible a la socasp. Au vu de tout cela, les nouvelles autorités de Bangui doivent a tout prix ouvrir l’oeil. Il semble que le même Dea se rapproche peu a peu du nouveau ministre de l’hydrolique afin de le corrompre de valider un nouveau dossier de la socasp. Le dossier du financement des travaux de la construction des bacs 4 et 5 et la réhabilitation du site de Salo saccagé par des rebelles. Le président Touadera et son premier ministre sont appelés a la rescousse pour arrêter l’hemorragie. Le peuple centrafricain a trop souffert. Il est temps de faire un audit dans cette société et chercher a lancer un avis de recrutement. La socasp est une société de l’État et non un patrimoine familial.