La deuxième session parlementaire centrafricain, nécessairement “extraordinaire”, on se demande bien pourquoi, recelait in fine des pépites de franche rigolade. Déjà, il fallait être courageux pour se taper les 4 heures du discours confus de Sarandji le PM centrafricain.
Vendredi, débat sur la question de confiance à accorder au gouvernement de Simplice Mathieu Sarandji,, qui deux jours plus tôt, avait endormi toute l’assemblée, quatre heures durant, à lire les 73 pages de sa politique générale, une somme de déclarations d’intention sans propositions concrètes de réalisation; ce que certains députés n’auront pas manqué de le lui faire savoir. Il a remis ça, mais en Sango, pour seulement deux heures de nouveau bla bla.
... suite de l'article sur Autre presse