Après trois ans de chaos et deux ans d’une transition politique chancelante, la Centrafrique renoue pas encore avec l’espoir. Il faut faire preuve d’excès d’optimisme pour ne pas voir le navire centrafricain balloté par de violents vents contraires d’une tempête qui n’a que trop duré.
En effet,alors qu'en Centrafrique la paix, en dépit des élections groupées, tarde toujours à s’installer, le centre du pays voire le cœur de Bangui la capitale, entre à son tour dans l’œil du cyclone avec la naissance des nouveaux mouvements armés d’obédience peule et dans la capitale avec la démonstration de la puissance de feu de la bande armée d'un certain Force alias 50/50 et Haroun Gueye.
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