En Centrafrique, dialogues et tractations sont toujours en cours pour faire adhérer les groupes armés au processus de désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR) mené par le nouveau pouvoir. En parallèle, les opérations du pré-DDR pilotées par les Nations unies se prolongent et viennent d’enregistrer le cap de 3 000 adhérents au processus.
Désarmer, démobiliser et réinsérer les ex-combattants, tel est l’enjeu capital pour les nouvelles autorités centrafricaines. Sur le papier, le principe du DDR est simple : celui qui possède une arme de guerre, et admet avoir fait partie d’un groupe armé, doit déposer les armes. En échange, l’ex-combattant est ensuite incorporé dans des travaux d’utilité publique ou peut recevoir une formation professionnelle. Avec nourriture et salaire à la clef.
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