Déterminée à organiser la CAN 2015 coûte que coûte aux dates initialement fixées, la Confédération africaine de football doit faire face aux défections de certains candidats annoncés pour jouer les plans B. Les solutions de repli crédibles s’amenuisent.
C’est une sacrée épine que la Confédération africaine de football va devoir se retirer du pied. Entêtée dans son idée de voir la 30e édition de la Coupe d’Afrique des nations avoir lieu aux dates initialement prévues (du 17 janvier au 8 février) en dépit de la défection du Maroc, l’instance dirigeante du football africain n’a pour l’heure pas de plan B à annoncer et demande du répit.
Ce n’est pas faute d’avoir demandé aux candidats intéressés pour abriter la compétition de se présenter avant le 11 novembre. Mais alors que le Comité Exécutif siège toujours au Caire afin de trouver un remplaçant au Maroc, force est de constater que les solutions de repli crédibles ne sont pas légion, pour ne pas dire inexistantes. Alors que l’organe décideur du football africain indique privilégier une candidature unique, seule l’Afrique du Sud semble pouvoir apporter toutes les garanties en termes d’infrastructures et de sécurité.
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