La Secrétaire générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie, Michaelle Jean s’est réjouie dimanche à Antananarivo de l’organisation « exceptionnelle » du 16è Sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement des pays ayant le français en partage.
« Je tiens à saluer les autorités malgaches et plus particulièrement le peuple malgache pour la tenue d’un Sommet non seulement réussi mais, à bien des égards, exceptionnel », a-t-elle déclaré à la cérémonie de clôture de la rencontre.
Le Sommet qui a réuni plus de 6500 participants, dont 20 Chefs d’État et de gouvernement et près de 2500 délégués a été une occasion de discuter de plusieurs questions cruciales à la survie de l’espace francophone.
« Le XVIe Sommet de la Francophonie aura permis aux chefs d’États et de gouvernement réunis d’aborder les principaux enjeux politiques, diplomatiques, économiques, sociaux et sécuritaires qui touchent notre espace commun, ainsi que les actions menées par la Francophonie sur toutes ces questions », a indiqué Michelle Jean.
D’autres points ont été également au menu des discussions, notamment l’engagement citoyen, la créativité économique, le dynamisme et la vitalité de la jeunesse francophone qui constitue une force pour l’organisation.
« Le Sommet de Madagascar réaffirme la pertinence et la place centrale qu’occupe notre organisation sur la scène internationale et donne une impulsion à la puissante force de proposition et d’action de la Francophonie », a ajouté la Secrétaire générale.
Placé sous le thème « Croissance partagée et développement responsable : les conditions de la stabilité du monde et de l’espace francophone », le Sommet (26-27 novembre) a également vu la participation de plusieurs représentants d’organisations partenaires comme l’ONU (Conseil de sécurité et Département des opérations de maintien de la paix, ONU Femmes), l’Union européenne, l’Union Africaine et la Banque Africaine de Développement (BAD).
TBS/APA