La justice française peine à trouver des preuves des viols dont sont suspectés des militaires français de l'opération Sangaris, déployée fin 2013 dans le chaos centrafricain, jusqu'à fin octobre 2016. On a appris mardi 3 janvier que sur les trois enquêtes ouvertes devant la justice française, une seule était toujours en cours. Par ailleurs, ce mardi également, le site Médiapart publie un long reportage, témoignages détaillés à l'appui, sur ces accusations de viols contre des militaires français.
L'ex-force Sangaris fait face à trois dossiers distincts ouverts par la justice française concernant des affaires d'agressions sexuelles. D'abord, celui révélé par l'ONU portant sur des soupçons de viols d'enfants du site de déplacés de Mpoko à Bangui tout près de la base française. Ensuite, des accusations contre des militaires français à Dékoa dans le centre du pays. Et une enquête portant sur une accusation de viol d'une jeune femme, à Boda à l'ouest de la capitale.
... suite de l'article sur RFI