La République Centrafricaine est aujourd’hui secouée par un véritable scandale sexuel dont l’auteur est le Ministre des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique, Léopold MBOLI FATRANE. Ce scandale politico-sexuel inonde la toile et est sur toutes les lèvres en RCA. Chacun y va de son petit commentaire. Ces sextapes de Léopold MBOLI FATRANE se vendent à Bangui comme des beignets à 100 F CFA sur le marché de transfert des crédits, images, musiques et sonneries des téléphones. Dans les bureaux, marchés, lycées et collèges à Bangui les parents tout comme les enfants dont ceux à bas âges se regroupent pour visualiser la scène érotique de leur Ministre.
Ainsi, depuis quelques jours, les centrafricains sont totalement horrifiés et scandalisés de voir circuler sur les réseaux sociaux non seulement un album photo mais aussi et surtout deux vidéos (d’une dizaine de minutes chacune) montrant l’actuel Ministre centrafricain des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique, Léopold MBOLI FATRANE, dans sa tenue d’Adam et Eve, s’adonnant à des pratiques sexuelles perverses indignes d’un membre du gouvernement de la République.
Dans l’une des vidéos, on peut voir Léopold MBOLI FATRANE, désormais indigne de la fonction gouvernementale et de toute autre fonction républicaine, et désormais indigne d’un statut de père de famille, se tenir devant son ordinateur ; sans doute surexcité par une de ses conquêtes féminines éloignées de lui, mais collée à lui par le biais du webcam, Léopold MBOLI FATRANE se dénude, se caresse tout seul, attrape son phallus dont la taille n’est pas loin de celle d’un étalon en chaleur, l’exhibe et le bouge comme un gourdin qu’on tien pour assommer une bête de somme ; il se masturbe en solo jusqu’à la jouissance solitaire, l’éjaculation sur l’écran de son ordinateur. Après avoir éjaculé, Léopold MBOLI FATRANE fait le geste d’au revoir à l’endroit de sa partenaire sexuelle perverse elle aussi devant son écran.
Dans la seconde vidéo, Léopold MBOLI FATRANE fait l’amour avec une jeune fille. Au plus fort de leur ébat sexuel digne d’un couple de tourtereaux roucoulant au fond d’une cage, Léopold MBOLI FATRANE et sa partenaire s’étreignent dans tous les sens, se caressent, descendent à la cave l’un après l’autre avant d’en venir à la partie hard où on entend la jeune fille gémir sous les coups de hanche de MBOLI FATRANE, ce dernier lâchant de son côté des paroles érotiques dignes d’un vieux pervers.
Au départ, alerté par des citoyens centrafricains et certains diplomates à Bangui, Corbeau News a d’abord cru à une simple campagne de dénigrement, pratique courante en Centrafrique, ne voulant pas ainsi se risquer à dévoiler les informations sans vérification préalable.
Mais vu le nombre incalculable de messages reçus de ses lecteurs, Corbeau News a procédé à une investigation sur les réseaux sociaux Facebook, Youtube, Dailymotion, Instagram. Et les résultants sont incontestables. Nul ne peut sérieusement parler de simple campagne de dénigrement, ni de montage vidéo à l’endroit du Ministre des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique. L’authenticité de ces vidéos et photos compromettantes est avérée. C’est bel et bien Léopold MBOLI FATRANE sur les images sexuelles.
Léopold MBOLI FATRANE doit démissionner sans délai.
Dans un Etat normal, le Ministre concerné aurait démissionné immédiatement du gouvernement. Les faits à lui reprochés sont d’une gravité telle qu’il aurait déjà dû démissionner du gouvernement, immédiatement après l’éclatement de l’affaire, et même faire une déclaration publique pour présenter des excuses à la nation ne serait-ce que pour atteinte aux mœurs. Comment fait-il pour tenir encore dans le gouvernement vis-à-vis de ses pairs, du Premier Ministre et du Chef de l’Etat ? La RCA n’est-elle pas le pays de tous les paradoxes ?
L’incompréhensible protection du ministre incrimine par le président TOUADERA et le premier ministre SARANDJI.
Selon des informations de source digne de foi, Léopold MBOLI FATRANE est protégé par le Tout-puissant Ministre d’Etat, Directeur de Cabinet du Chef de l’Etat, Firmin NGREBADA. Il aurait, selon nos sources, ordonné à l’ensemble des membres de son cabinet et aux membres du gouvernement de ne pas faire voir au Chef de l’Etat ces vidéos déshonorantes. Une solidarité, mais une fausse solidarité gouvernementale pour une cause indéfendable pour les vrais républicains mais défendable pour une bande de copains.
La pornographie et les actes similaires sont pénalement condamnables. En dépit de cette cachoterie, le Président de la République et le Premier Ministre ne peuvent pas prétendre qu’ils ne sont pas au courant de cette affaire puisqu’on voit leurs conseillers et chargés de mission tels que Maurice Wilfried SEBIRO écumer avec frénésie les réseaux sociaux.
Sous d’autres cieux, des ministres africains ont été contraints à la démission et traduits en justice rien que pour des photos à caractère pornographique ou prises dans des positions compromettantes avec des jeunes filles. On l’a vu au Rwanda, au Cameroun, au Congo Démocratique. Les images vidéo comme celles mettant en cause le membre du gouvernement qu’est Léopold MBOLI FATRANE ne doivent pas rester impunies. D’ailleurs, sur ce terrain là au moins, la présidente de la transition Madame Catherine SAMBA PANZA n’avait pas hésité une seconde pour mettre hors d’état de nuire son ministre du tourisme Romaric VOMITANDE pour des attouchements sexuels réalisés entre quatre murs.
La gravité des faits ici relatés mais avérés ne plaide pas du tout en faveur du maintien de Léopold MBOLI FATRANE au gouvernement. Comme ce dernier n’a pas démissionné de lui-même, le Président Faustin Archange TOUADERA et son Premier Ministre Sarandji Mathieu auraient dû se concerter rapidement pour son éviction du gouvernement. Hélas rien ! Aucune condamnation publique de la part des deux têtes de l’exécutif.
N’est pas le Président Faustin Archange TOUADERA qui, le jour de son investiture, s’était prononcé pour une République exemplaire et irréprochable et donc pour la rupture ?
N’est pas le Premier Ministre Simplice Mathieu SARANDJI qui est prompt à claironner partout qu’il n’a de leçon à recevoir de personne concernant le choix de ses ministres ?
Pourquoi leur silence complice, coupable, irresponsable, choquant et révoltant face à l’immoralité au sommet de l’Etat qu’ils dirigent à la manière d’une bande de copains sans foi ni loi et sans moralité publique ?
Le Président Faustin Archange TOUADERA et le Premier Ministre Simplice Mathieu SARANDJI sont-ils encore des garants de l’ordre public et de la moralité publique dans ce pays ?
Sont-ils conscients du fait qu’ils sont avant tout des pères de famille, avec des enfants qui ont besoin d’être protégés et bien éduqués à commencer par les premiers responsables du pays ?
Le silence coupable et complice des élus de la nation, de la classe politique et de la société civile
Devant ces faits décriés imputés au Ministre Léopold MBOLI FATRANE, il n’y a pas eu de prise de position ni du Président de l’Assemblée Nationale, Abdou Karim MECKASSOUA, ni des Députés de la nation, ni du chef de file de l’opposition Anicet Georges DOLOGUELE, Président de l’URCA, ni de la société civile de Gervais LAKOSSO prompte à dénoncer les dérives gouvernementales ou l’inaction de la MINUSCA.
Ailleurs, le ministre incriminé aurait déjà fait l’objet d’une interpellation pour venir s’expliquer devant les élus de la nation sur les faits qui lui sont attribués. La classe politique et la société civile auraient déjà évoqué et discuté de ce grave scandale sur les ondes.
Si Léopold MBOLI FATRANE ne démissionner pas ou n’est pas limogé du gouvernement d’ici le 31 janvier 2017, Corbeaux News se réserve le droit de publier intégralement sur son site les images et les deux vidéos sexuelles.
Par ailleurs, Corbeaux News est en mesure d’informer ses lecteurs que la Rédaction détient d’autres images compromettantes de deux autres membres du gouvernement et d’un membre du cabinet du Président de la République qui feront l’objet de publication ultérieure.
La République exemplaire et la rupture prônées par le Président Faustin Archange TOUADERA et son Premier Ministre Simplice Mathieu SARANDJI supposent aussi qu’on ait des ministres irréprochables et exemplaires en qui nos enfants peuvent voir des modèles et non des obsédés sexuels jouissant à longueur de journée de leurs attributs de pouvoir.