Au Bénin, la nomination en conseil des ministres de figures emblématiques de la société civile au sein d'instances de lutte contre la corruption a créé un tollé la semaine dernière. Ces personnalités auraient cédé aux sirènes du pouvoir, c'est notamment le message diffusé par les réseaux sociaux. A l'occasion d'une conférence de presse, où d'autres dossiers ont été évoqués, le Front des organisations nationales de lutte contre la corruption a donné des explications.
Ses nominations sont prévues par les textes, il s'agit d'un renouvellement, a expliqué le Front des organisations nationales de lutte contre la corruption. La société civile a toujours eu des représentants, élus par leurs pairs : quatre à l'Autorité de régulation des marchés publics et un à l'Autorité nationale de lutte contre la corruption.
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