Le coordonnateur humanitaire, a.i. en République centrafricaine, Aboubacry Tall, a dénoncé le 22 février, les violences qui se poursuivent dans les préfectures de la Ouaka et de Kotto, et appelé les parties en conflit à « respecter et à faire respecter le Droit humanitaire international (DIH) ».
Pour apporter une réponse conforme aux principes humanitaires de neutralité et d’impartialité, Aboubacry Tall a rappelé à ces parties leur obligation de garantir « un accès humanitaire exempt de toute entrave et conditionnalité ». « Je demande instamment aux groupes armés de ne pas s’opposer à la liberté de mouvement des civils ni à celle des acteurs humanitaires afin que les uns puissent accéder à l’assistance dont ils ont tant besoin et aux autres de sauver des vies » a-t-il insisté.
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