 |
NEWS |
.jpg)
© Autre presse par DR
Un véhicule blindé marocain de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA). |
Bangui – à Ippy, tout le monde se demande ou la MINUSCA a t’elle trouvé cette idée d’armes distribuées à des enfants. Où sont les preuves ?
Concernant les rapports de la situation en Centrafrique pour le reste du monde, la voie officielle, reprise par la presse occidentale est celle de la MINUSCA, censée ne pas raconter n’importe quoi.
Toute autre information, même véridique contrariant les assertions Onusiennes, est jugée non valable, et personne n’y prête attention. La communication de la MINUSCA est en Centrafrique, ce que fut la PRAVDA de l’époque de l’URSS.
Aussi, oser déclarer dans un communiqué que les rebelles du FPRC distribueraient des armes à des gosses pour combattre, est un hoax absolu. Où sont les preuves ? Mais, c’est la vérité officielle, estampillée MINUSCA.
Le FPRC est coupable d’un tas de crimes, certainement pas de celui là.
Le communiqué de la MINUSCA en date du 28 février dit cela : “Des informations concordantes font état de la distribution d’armes à des jeunes par la coalition du Front Populaire pour la Renaissance de Centrafrique (FPRC) à Ippy, préfecture de la Ouaka (centre de la République centrafricaine), en vue de poursuivre son offensive sur Bambari en violation de la ligne de démarcation tenue par les forces onusiennes.”
Ceci est complètement faux et infondé !
Abdoulaye SIDIKI des “3R” de surfer sur ce mensonge : « Nous démentons complètement cette information que nous rejetons en bloc. Ce ne sont que des fausses accusations contre la coalition FPRC ».
Pour le FPRC, « la population détient des armes artisanales depuis longtemps, elle n’a pas besoin de nous pour s’armer. La MINUSCA qui ment là a désarmé qui dans ce pays ? Elle dit qu’elle a fait une enquête dessus à IPPY ? Où sont les résultats ?»
Dans la foulée, la coalition FPRC et alliés confirme qu’elle poursuivra son avancée sur Bambari, quoiqu’il en coûte, tant qu’Ali DARASSA ne sera pas chassé de Centrafrique.
| Nos réseaux sociaux |
|
Tous les articles d'actualités
