Les associations "Innocence en danger" et "Enfance et partage" ont annoncé vendredi avoir demandé à la justice française d'auditionner à nouveau des soldats français de la force Sangaris accusés de viols sur mineurs en Centrafrique entre 2013 et 2014. Elles dénoncent une instruction "partiale et lacunaire".
C’est peut-être la requête de la dernière chance pour faire la lumière sur une sombre affaire. Car le 20 décembre dernier, les juges d’instruction français ont notifié la fin de l’enquête portant sur des accusations de « viols et complicités de viols » qui auraient été commis sur des mineurs dans le camp de déplacés de M’Poko près de l’aéroport de Bangui, entre décembre 2013 et juin 2014. Et faute de personnes mises en examen, l’affaire pourrait s’acheminer vers un non-lieu.
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