Le parquet de Paris demande un non-lieu dans l'enquête visant des soldats français de l'opération Sangaris en Centrafrique accusés de viols par des enfants en 2013 et 2014. L'enquête en question a été clôturée en décembre, sans mise en examen.
Pour le parquet, « il ne peut être affirmé à l’issue de l’information qu’aucun abus sexuel n’a été commis sur ces mineurs ». Pour autant, les éléments recueillis et « la variation des témoignages ne permettent pas d’établir des faits circonstanciés et étayés à l’encontre des militaires qui ont pu être entendus comme mis en cause dans ce dossier », a indiqué mardi 21 mars à l’AFP une source proche du dossier.
« Le contenu des auditions a fortement varié », poursuit cette source, indiquant que des incohérences matérielles ont aussi été relevées.
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