L’armée ougandaise a débuté mercredi le retrait de ses troupes opérant en Centrafrique contre l’Armée de résistance du Seigneur, estimant que la rébellion a été "neutralisée". Mais son tristement célèbre chef Joseph Kony reste introuvable.
Un "succès". C’est sur ce constat que l’armée ougandaise a entamé, mercredi 19 avril, le retrait progressif de ses troupes stationnées dans l’Est de la Centrafrique. Sous mandat de l’Union africaine, ces quelque 2 000 soldats tentent depuis plus de huit ans ans de neutraliser la guérilla sanguinaire de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) et de capturer son chef, Joseph Kony. "Kony n’est plus en mesure de recruter des enfants ou de les enlever, il n’est pas en mesure de se réarmer comme avant, et n’est même plus capable de mener des offensives contre l’armée ougandaise ou encore de conduire une attaque sur le territoire ougandais", affirme à RFI le brigadier Richard Karemire, porte-parole de l’armée ougandaise.
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