La classe politique centrafricaine ne cesse d’accroitre. Un nouveau parti politique vient de naître au nom du président centrafricain, Faustin Archange Touadera. Dénommé Mouvance Touaderateurs, le parti vise à promouvoir et traduire en acte la vision politique de président de la République centrafricaine, à en croire Coordonateur Général Héritier Doneng.
C’est au cours d’un point de presse avec les professionnels des médias, le 22 avril au stade 20.000 places à Bangui, que la Mouvance des Touaderateurs s’est officiellement lancée. Assisté par le chargé de communication et porte-parole, Ludovic Ledo, le Coordonateur Général de la Mouvance des Touaderateurs justifie la création de cette mouvance avec la vision qui les guide.
« Nous affirmons que la situation chaotique dans laquelle notre pays est plongé ne relève véritablement pas de la fatalité. L’espoir est là avec Touadéra. Il suffit de se résoudre à le saisir. Nous souhaitons affronter ce chalenge avec chaque citoyen centrafricain », a déclaré Héritier Doneng, Coordonateur Général de la Mouvance des Touaderateurs.
Les Touaderateurs ont estimé qu’avec le président Faustin-Archange Touadéra, les Centrafricains peuvent bâtir une République Centrafrique forte et unie. Car, d’après eux, le défi est grand et parait difficile à relever, mais il est à la portée des Centrafricains d’agir. Il s’agit pour eux de reconstruire une Centrafrique tournée vers la modernité en vue de son émergence.
« Nous nous engageons à soutenir et traduire en acte le Touadérisme qui est le courant de pensée politique de Son Excellence, Professeur Faustin-Archange Touadéra ou encore sa profession de foi. Nous nous engageons à faire la Touadération, qui signifie l’action de mobiliser et de sensibiliser les centrafricains à unir leurs cœurs pour bâtir la RCA », a-t-il renchérit.
Dans sa vision politique, la Mouvance des Touaderateurs s’engage avec Touadéra en vue d’assoir les valeurs d’intégrité morale, de probité, d’équité, de justice, de transparence, du goût de l’effort au travail et surtout de lutte contre la corruption.
Par Eric NGABA