C’est un nouvel accroc après la signature d'un accord de paix à Rome entre 13 groupes armés et le gouvernement centrafricain. Le cardinal Nzapalainga avait déjà démenti avoir envoyé un représentant dans la capitale italienne pour signer en son nom. C'est maintenant l'une des deux branches anti-balaka qui renie l'accord, conclu sous l'égide de la communauté Sant’Egidio. La «coordination des ex-anti-balaka», dirigée par Patrice-Edouard Ngaissona, dit ne pas avoir été invitée et dément avoir mandaté des représentants à Rome il y a deux semaines.
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