Bangui vit dans une bulle. D’autres capitales de pays en guerre – même si on hésite à qualifier ainsi les violences meurtrières qui, depuis septembre 2016, frappent de nouveau la République centrafricaine (RCA) – offrent cette image paisible, épargnée par les combats, alors que le reste du pays est à feu et à sang.
Mais cette déconnexion devient troublante lorsqu’elle provient des cercles de décision, nationaux et internationaux, censés ouvrir la voie à une sortie de crise. Pour reprendre les mots d’un diplomate occidental en poste à Bangui : « La Centrafrique va droit dans le mur et on ne sait pas comment l’éviter. »
Bangui vit dans une bulle. D’autres capitales de pays en guerre – même si on hésite à qualifier ainsi les violences meurtrières qui, depuis septembre 2016, frappent de nouveau la République centrafricaine (RCA) – offrent cette image paisible, épargnée par les combats, alors que le reste du pays est à feu et à sang. Mais cette déconnexion devient troublante lorsqu’elle provient des cercles de décision, nationaux et internationaux, censés ouvrir la voie à une sortie de crise. Pour reprendre les mots d’un diplomate occidental en poste à Bangui : « La Centrafrique va droit dans le mur et on ne sait pas comment l’éviter. »
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