Les groupes armés prolifèrent en Centrafrique pour le contrôle du territoire et de ses ressources, selon un rapport publié le jeudi 10 août par un groupe de réflexion Enough Project. Chez les combattants, la soif de pillage prime sur défense d’une communauté religieuse.
Le rapport publié jeudi 10 août par Enough Project, un groupe de réflexion sur les crises humanitaires, montre l’évolution des groupes présents en Centrafrique (RCA), et de leurs préoccupations.
Quand la religion laisse place à l’économie
Alors qu’on résumait jusqu’alors le conflit à une opposition entre combattants ex-Seleka (majoritairement musulmans) et anti-balaka (majoritairement chrétiens), le nouvel état des lieux des belligérants montre que cette opposition religieuse, souvent exagérée, a été relayée au second plan.
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