NOLA — La municipalité et le tribunal de grande instance de Nola ont procédé vendredi dernier à l’exécution du projet de ré-inhumation des ossements humains. Plusieurs ossements ont alors été ré-inhumés.
Selon Narcisse Danboy, procureur près du tribunal de grande instance de Nola, ces ossements ré-inhumés ont été gardés au niveau du tribunal après arrestations et jugements des trafiquants en 2015, « c’est après des réunions au niveau de la structure judiciaire avec les couches sociales de la localité que la décision de ré-inhumation a été finalement prise », explique-t-il.
Cette cérémonie a eu lieu au cimetière du centre commercial de Nola. Au total, trois Cranes et plusieurs fémurs ont été ré-inhumés.
Dans cette région du pays, les trafics des organes humains sont fréquents.