Parler de génocide en République centrafricaine n’est pas «justifié». Le Président centrafricain Faustin-Archange Touadéra a pris mercredi 27 septembre 2017 le contre-pied du Secrétaire Général adjoint de l'ONU pour les Affaires humanitaires qui, fin août, avait utilisé ce terme de «génocide». Pourtant la situation sur place est source d’inquiétudes. L’Eglise catholique a souvent fait part de ses craintes, tout comme de nombreux experts. Les chercheurs de l’International Crisis Group publient ce jeudi un rapport intitulé «Éviter le pire en République centrafricaine». Ils recommandent notamment de manier la carotte et le bâton avec les groupes armées , de bâtir une meilleure relation entre Bangui et les périphéries et d’améliorer la collaboration avec les pays voisins.
... suite de l'article sur Autre presse