Le Président élu de la communauté centrafricaine de France CCFR a été démasqué, le lundi 12 février dernier, par certains membres du bureau de l’association qui ont mis à nu son casier judiciaire dans une vidéo en ligne du chargé et Porte-Parole, Didier Martial PABANDJI. Une vidéo dans laquelle il a demandé simplement sa démission pour tromperie et escroquerie aggravée.
Il s’appelle Bienvenu Aimard Guinon, 36 ans et connu des services de police français et les prisons parisiennes et lyonnaises pour vol, escroquerie, imitation de signatures, faux et usages de faux ! Mais le 4 novembre, avec la bénédiction et le soutien financier d’un proche de Faustin Archange TOUADERA, cet escroc hors pair a réussi à embobiner une centaine de centrafricains et s’est fait soutenir par des intellectuels très respectés et respectables pour mettre en œuvre ses sales intentions. Il a réussi à se faire élire comme Président de la CCFR en présentant un casier judiciaire vierge, mais falsifié, datant d’octobre 2017.
Dès mi janvier, au sein du bureau exécutif, les contestations sur sa probité morale et intellectuelle, ses nombreuses vidéos sur ses multiples comptes Facebbook dans lesquels il passe la plupart de son temps à insulter, injurier, calomnier les membres de sa communauté ainsi que les personnalités politiques du pouvoir de Bangui et de l’opposition démocratique, ont poussé certains membres à demander sa destitution. Chose que ce semi-lettré n’entend point de ses oreilles.
Il a multiplié les campagnes de dénigrement contre les membres de CCFR sur internet en s’attaquant même aux enfants et familles de certains dignes compatriotes. En interne, l’association déclenche une enquête silencieuse pour tout savoir sur ce récidiviste et escroc. Et la découverte est sans appel : un casier judiciaire de deux pages rempli (cf.doc joint).
Mis à nu, il ne reste plus qu’à procéder à la destitution du plus gros escrocs et voleurs de France Marwan GUINON ou simplement à la dissolution de cette association qui a fait couler beaucoup d’encres dans la communauté. Il est temps que des dignes fils et filles du pays reprennent les choses en main dans le bon sens.
Au Gouvernement centrafricain, et particulièrement le Ministre des Affaires Etrangères et des centrafricains de l’étranger d’aider à l’organisation de cette diaspora longtemps malmenée et représentée par des corrompus, des faux, voleurs et escrocs connus de tous, mais acceptés pour les services rendus aux régimes successifs controversés de Centrafrique.
Affaire à suivre.
Bernard Selemby Doudou