Dominique Calace de Ferluc, Alain Juillet, Stéphane Ravion et un certain David Loucacio sont soupçonnés par la justice équato-guinéenne d'être impliqués dans le « putsch de Noël » avorté.
Un Français désigné par la justice de Guinée équatoriale comme un des acteurs du « coup d’Etat » manqué de décembre dans ce pays, a démenti toute implication, estimant que cette accusation était une « opération montée de toutes pièces ». « C’est une cabale qui est montée contre nous, une opération montée de toutes pièces. Le but aujourd’hui pour le président actuel [Teodoro Obiang Nguema] c’est d’éradiquer l’opposition en exil comme il le fait dans le pays », a déclaré Dominique Calace de Ferluc, interrogé au téléphone par l’AFP depuis Libreville.
Selon lui, le président Nguema cherche à « impliquer la France dans cette affaire » pour se venger du « contentieux des biens mal acquis » qui vise son fils Teodorin, condamné à 3 ans de prison avec sursis par la justice française en octobre 2017.
Ancien conseiller à l’ambassade
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