Au fil des ans, pour ne pas dire des siècles, l’arbitrage s’est développé et s’est finalement imposé comme une véritable justice, reconnue par les parties au litige et par les Etats. Jusqu’à ce jour, aucun intellectuel du monde des affaires n’a pu s’interroger sur ce principe, alors que de l’avis du Juriste centrafricain, « l’arbitrage n’a pas que de roses ; il a également ses épines ». Et d’expliquer que « l’évolution de cette activité juridique a donné lieu à des dérives. Les pratiques frauduleuses se sont multipliées ces derniers temps dans le secteur et le problème de conflits d’intérêts se pose de façon de plus en plus aigüe ».
C’est le jeune Centrafricain, Dr Odilon Tomandji Nzapahaham, Juriste et spécialiste de l’arbitrage, des contrats d’affaires et droit bancaire, vient de soulever une problématique mondiale, notamment dans le monde des affaires, à savoir « L’étique dans l’arbitrage international » – qui est d’ailleurs le titre donné au Livre qu’il a fait paraitre à cet effet. Tout l’enjeu, notamment les insuffisances et opportunités pour l’félicité de l’arbitrage international à découvrir…
Après tout, il s’agit de l’expression du génie centrafricain, à travers le monde. Dans la haute sphère économique de la COBAC (Commission bancaire de l’Afrique centrale) où il travaille actuellement, avec siège au Gabon, le Centrafricain Dr Odilon Tomandji Nzapaham remue le monde des affaires, avec la problématique de l’éthique dans l’arbitrage international qu’il vient de soulever.
Le génie centrafricain a conduit le jeune Juriste à soulever courageusement la problématique dans son Livre « L’Ethique dans l’arbitrage international », qui vient de paraitre aux Editions JURIAFRICA et préfacé par Marcel Sérékoissé-Samba, Ancien Président de la Cour commune de justice et d’arbitrage de l’OHADA (CCJA) avec l’Avant-propos de Gaston Kénéfack Douajni, Ancien Président de la Commission des Nations unies pour le Droit commercial international (CNUDCI).
Dr Odilon Tomandji Nzapaham est fils du Magistrat hors hiérarchie Pascal Tomandji présentement à la Cour des Compte de la République centrafricaine. Il est Spécialiste de l’Arbitrage, des contrats d’affaires et du Droit bancaire. Cadre supérieur de la BEEAC, il travaille actuellement à la COBAC à Libreville au Gabon. Parallèlement, il enseigne à l’Université Omar Bongo de Libreville et Elève-Avocat à l’Ecole des avocats Centre-sud de Montpelier.